JOURNAL WEIBA

Journal Weibá est le regroupement de photos scènes de vie provenant de Douala et Yaoundé datant de 1910 à 1990, vidéos d'archives, une sélection de littérature, détails à propos de la spiritualité indigène l'ethnie,
ainsi que les photos, films d'époques de cinéastes et photographes camerounais.

Muna Moto, 1975 par Jean-Pierre Dikongue Pipa

Muna Moto (L'Enfant de l'autre)
Ngando, un jeune villageois, aime Ndomé à laquelle il est fiancé. Le mariage est impossible car il ne peut réunir la dot. Il sollicite son riche oncle mais celui-ci convoite Ndomé pour en faire sa quatrième épouse car aucune ne lui a donné un enfant.

Durée : 1h40min
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Badiaga : La vie de Betti Betti, 1986 par Jean-Pierre Dikongue Pipa

Un drame inspiré par la vie tragique de la fameuse chanteuse camerounaise Beti Beti (Béatrice Kempeni), qui interprète son propre rôle à la fin du film. Badiaga, une petite fille de trois ans, est abandonnée dans un marché par sa mère. Un sourd-mouet la recueille et l'eduque. Un lien très fort grandit entre eux.

En grandissant, elle rêve de devenir une chanteuse célèbre. Elle est fascinée par les différentes stars des cafés de Yaoundé. Elle vend de menus objects et collectionne des disques pour survivre. Un jour, elle a la chance d'interpréter à la radio une chanson de son enfance, que devient immédiatement un succès national. Puis les concerts se succèdent, la foule l'adore. Pourtant, elle refuse tout lien sentimental et recherche désespérément une famille. Un jeune admirateur ne se laisse pas décourager, curieusement il porte sur le visage les mêmes scarifications qu'elle.

Durée : 1h40min
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Le Prix de la liberté, 1978 par Jean-Pierre Dikongué Pipa

Après avoir refusé les avances sexuelles du chef de son village et bravé l'autorité de son père, une jeune femme s'enfuit de chez elle et se rend en ville. Elle y rencontre plusieurs membres de sa famille et tente de commencer une nouvelle vie. Elle entre au lycée, se fait des amis. Mais elle se rend compte que les relations sociales, en ville, dépendent également des faveurs sexuelles et que toutes ses amies se sont résignées à cette pratique. Quand elle perd le seul homme qu'elle ait aimé, elle retourne dans son village et, dans un accès de rage, y met le feu.

Durée : 1h35min
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Carte postale de douala, 1925

Source: IDPAO - Cameroun

Quai de Douala, Cameroun. 1948

Source: Fond archives Burtsch/F.Lechevallier (1900/1950)

Fabrication d'une pirogue en bois, 1940

La pirogue est un élément essentiel pour le déplacement des peuples du littoral sud-ouest camerounais, elle permet de rejoindre et de liée plus facilement les ethnies habitants sur des îles du fleuve Wouri dont l'accès se fait uniquement par la traversé de ce fleuve. Son nom originel est "Mundja Mw'Ewodi", qui signifie Fleuve d'Ewodi. Ewodi est également l'un des plus grands villages qui héberge le fleuve. Ce n'est qu'au 19ème siècle, durant la période coloniale allemande que celui-ci fût renommé Fleuve Wouri.

Source: Fond archives Burtsch/F.Lechevallier (1900/1950)

Pirogue de course représentant Bonapriso durant la fête annuelle du Ngondo. 1943

Pirogue-de-course-des-Bonapriso;id=1940.jpg

Source: Fond archives Burtsch/F.Lechevallier (1900/1950)

Portrait d'homme douala, identité inconnue, 1911

Source: Fond archives Burtsch/F.Lechevallier (1900/1950)

Groupes de femmes douala en robes Kabas dansant lors d'une célébration
.1, 1956

Source: Collection "Cameroun" Jeunesse / Ericka Brucker (1950/1970)

Femmes d'un village du littoral travaillant le manioc et sa mise en bâton dans des feuilles de palmiers, 1940

Celui-ci une fois terminé est aussi appelé "Miondo" et se consomme en complément dans tous types de plats.

Source : Fonds d'archives Brutch/ F.Lechevallier (1900/1950)

Activités commerciales sur le quai de Douala, 1930

Commerce sur les quai de douala_edited.j

Source: Collection "Cameroun archive/Mirko, Miroslav Mikolasek (1920/1950)

"Les Cadettes à la Radio", 1956

Jeunes filles en studio d'enregistrement de la radio locale. Radio Douala était le premier studio d'enregistrement dédié à la radio au Cameroun en 1941.

Source: Collection "Jeunesse Camerounaise" / Ericka Brucker (1955/1977)